
Amis de la revue de presse, bonjour !
Démarrage de l’examen du Baccalauréat session de juin 2024, 75.373 candidats planchent dès ce jour, titre en manchette Le Chasseur Infos. Ils composent dans 136 centres, précise Daabaaru. Information confirmée par les quotidiens L’œil et les 4 Vérités. Les ministres Eléonore Yayi et Chabi Yves Kouaro lancent les épreuves officielles à Dassa Zoumè note Le Matin. L’Evènement Précis affirme que le nombre de candidats a baissé pour cet examen. C’est peut-être parce que des candidats sont exclus de l’examen semble justifier le quotidien L’Indépendant qui évoque dans sa parution les raisons de cette exclusion. Ce sont les candidats de certains établissements fantômes qui sont recalés, justifie Le Chasseur Infos. Mais Décryptage Info constate que pour cette session, une importante hausse de l’effectif des candidats est notée dans les séries F1, F2, F3 et F4. Des conditions particulières de compositions sont prises également pour les candidats amblyopes et malentendants rassure Le Matin. Puisqu’ils sont au total 6 amblyopes puis 9 sourds et malentendants qui composent constate Décryptage Infos. Et le CIP est autorisé même non signé ajoute La Priorité.
Sur un tout autre registre, les canards sont revenus sur la célébration de l’Aïd El Kébir hier. Daabaaru consacre sa manchette à la fête de la Tabaski et affirme que les musulmans ont prié pour que règne la paix et la sécurité. Les 4 Vérités s’intéresse également à cette fête et rapporte les propos de l’Imam Arouna Abdoulaye qui exhorte Talon et Tiani à retrouver le fil du dialogue. Le Vice-président de la coordination départementale de Moelle-Bénin, El Hadj Malick Moussa Boni s’est invité dans les publications à travers l’Aïd El Kébir. Selon le quotidien L’œil du Bénin, l’acteur politique très influent dans la huitième circonscription électorale en général et la ville de Parakou en particulier a imploré Dieu pour que la paix et la sécurité règne au Bénin. Il n’a pas manqué de prier pour le Chef de l’Etat Patrice Talon et son gouvernement afin qu’ils puissent continuer dans l’élan de développent du Bénin sans oublier les candidats à l’examen du baccalauréat session de juin 2024, qui planchent les épreuves écrites ce lundi sur toute l’étendue du territoire national.
On parle justice dans ces revue, les personnes condamnées ont un délai de trois mois pour régler les amendes judiciaires, annonce le quotidien L’Observateur. C’est L’Agence Judiciaire du Trésor qui donne cet ultimatum à travers un communiqué, confirme l’Autre Vision. Ils ont trois mois pour se conformer rappelle Dynamisme Info. Les condamnés sont donc invités à s’acquitter volontairement de leur dû, écrit Décryptage Infos. Dynamisme info rapporte que l’AJT laisse une porte ouverte aux personnes concernées qui ont des préoccupations particulières et la plateforme e-quittance est activée pour payer leurs dettes. Passé les trois mois, l’AJT entend procéder « au recouvrement par les voies de droit », précisent les journaux.
La crise entre le Bénin et le Niger continue d’alimenter les publications. Le matin constate que les cadenas et chaînes sont désormais posés sur les vannes de pétrole exportable via le Bénin. Est-ce une deuxième perte après la baisse d’activités au port de Cotonou ? S’interroge Dynamisme infos. Oui ! semble affirmer le journal. Mon confrère évoque dans sa parution les difficultés qui entravent la rentabilité du port autonome de Cotonou suite à la fermeture des frontières entre les deux pays. C’est pour protester contre l’interpellation et la mise sous mandat de dépôt de trois ressortissants nigériens, au prétexte d’introduction frauduleuse sur le terminal de Sèmè-Podji que les autorités nigériennes ont empêché que le pétrole coule du Niger vers le Bénin fait savoir le canard. Gaskiyani évoque également l’erreur du Bénin dans ce bras de fer diplomatique. Dynamisme info conseille le Niger à reconsidérer sa position mais avant, la mise en liberté par le Bénin des ressortissants nigériens jetés en prison, fera bouger les lignes pour le dénouement de la crise.
C’est l’essentiel des grands sujets traités et commentés par la presse écrite en ce début de semaine,
Emmanuel Kouagou,
On se retrouve demain, par la grâce de Dieu !